- 1870, la guerre oubliée
- Le village du livre
- L’exceptionnel tombeau Renaissance
Sommaire
-
La revue vous avise
– par Alain BeaugrandLes activités du CRULH en 2020 – Saint-Nicolas et sa bière – Une enseigne de pèlerinage pour l’année Simon Moycet – La porte Saint-Nicolas rénovée – Nancy Thermal monument historique – Le retour de Charles V à Nancy – Des mécènes pour des oeuvres de Victor Prouvé – Une stèle pour l’aviateur Reymond à Flirey – Colloque sur les Lorrains du Banat – L’historien de Fontenoy-le-Château honoré – Banquets et menus au musée de Hennezel – Le chevet restauré des Cordeliers des Thons – 1 400e anniversaire du Saint-Mont – La cloche du 8e centenaire – Faible dynamisme démographique dans le Grand Est – -
À Saint-Nicolas-de-Port
1520-2020, les tribulations de Simon Moycet prêtre-bâtisseur – par Gérard CrouzierSimon Moycet, gouverneur de la fabrique de la Grande Église de
Saint-Nicolas-de-Port est mort le 7 avril 1520. Occasion pour cette ville et l’association « Connaissance et renaissance de la basilique de Saint-Nicolas-de-Port » de célébrer en 2020 celui que René II, duc de Lorraine, avait désigné pour édifier le monument emblématique du duché lorrain. -
Fontenoy-la-Joûte
Des milliers de bouquins engrangés… – par Jean-Marie CunyChers amis lecteurs du Pays Messin, des Vosges (ceux des Hauts et ceux de la plaine), Bonnes gens du Barrois, des villes et de la campagne… Bref, Lorrains de Lorraine et Lorrains éloignés… Je vous invite à aller raouer hors de vos horizons habituels dans la campagne profonde, proche de Baccarat, cité du cristal. -
Un village atypique
Dommartin-la-Chaussée – par Manuel BazailleCe petit village de Meurthe-et-Moselle, peuplé de 41 habitants, est mentionné en 1277 sous la forme de Dompmartin-de-la-Chaulcie, en référence à une ancienne voie romaine qui traversait la commune pour rejoindre la station d’Ibliodurum qui correspondrait à l’actuelle Hannonville-Suzémont. -
Au printemps 1957
Lo peire Brochet – Le père Brochet – par Urbain Noirel -
La Lorraine en noir et blanc
En quête de clichés – par Alexandre PetitNous ne sommes plus habitués aux photographies en noir et blanc, pourtant ces clichés présentent un certain
caractère et une force évocatrice incontestable.
Voici, quelques-unes seulement, de mes photographies prises au cours de mes vadrouilles en Lorraine.
Peut-être intéresseront-elles l’un ou l’autre de nos lecteurs… -
Nouvelle…
La mort du vieux fermier – par Philippe Bajolet -
À Blénod-lès-Toul
L’exceptionnel tombeau d’Hugues des Hazards – par Olivier PetitÀ Blénod-les-Toul, l’église Saint-Médard conserve l’un des plus beaux tombeaux de la Renaissance, celui de Hugues des Hazards, natif du village et évêque de Toul de 1506 à 1517.
En 2017, on a célébré les 500 ans de la mort du pontife ! -
Noblesse de Lorraine
Saulxures-lès-Bulgnéville, rendez-vous du Gotha nobiliaire en 1786 – par Jean-François MichelLe château de Saulxures-lès-Bulgnéville1 est actuellement
connu pour les séjours de détente et de repos qu’il offre à ses hôtes occasionnels ; son parc aux arbres plus que centenaires,
ses pelouses et son calme en font un lieu recherché par les connaisseurs. Depuis qu’il a intégré la rubrique « location pour chambres d’hôtes », voici plus de vingt ans, sa réputation et son élégance discrète n’en n’ont été que renforcées. -
Architecture traditionnelle
Une ferme à charri en Lorraine méridionale – par Alain BeaugrandLa « vieille maison », comme on l’appelle familièrement dans la famille des propriétaires, est plantée en bordure de deux rues du haut du village vosgien de Bleurville1, la rue Saint-Pierre et la rue de l’église. C’est une des dernières plus anciennes fermes de la commune ; le manteau de la cheminée monumentale de l’ancienne cuisine porte le millésime 1627. -
Les livres
– par Alain Beaugrand -
Un illustrateur vosgien
Henri Antoine, dans la Grande Guerre ! – par Olivier Petit -
Écrit le 11 novembre 2018
Je ne sais pas – par Irène Génin-Moine -
1870, l’année terrible
L’affaire du pont de Fontenoy-sur-Moselle – par Jean-Marie Cuny -
Cent-cinquantième anniversaire
Le siège de Bitche 1870-1871 – par Philippe CharpentierAprès les premières défaites françaises, l’armée de Mac Mahon se scinde et une brigade est dirigée vers Bitche. À ce moment la garnison bitchoise est composée de huit-cents soldats du 86° de ligne, de deux-cents cinquante artilleurs, de douaniers, de gardes mobiles, de fantassins, de zouaves et de rescapés de la bataille de Froeschwiller. Cette troupe hétéroclite représente rien moins que soixante douze régiments divers. Cette garnison occupe Bitche jusqu’à la fin de la guerre. La ville est pourtant cédée à l’Allemagne après l’adoption par l’Assemblée nationale des préliminaires de paix, alors même qu’elle n’a pas été conquise. -
Il y a cent ans à Épinal
Les terribles inondations de décembre 1919 et janvier 1920 – par Alain BeaugrandDans la nuit du 23 au 24 décembre 1919, des pluies torrentielles s’abattent sur l’est de la France, après un automne déjà très arrosé. La neige fond sur les sommets des Vosges et de la Forêt Noire du fait du redoux brutal et les cours d’eau connaissent une crue violente. -
Cours du soir
Poncelet et les cours industriels – par Laurent Sauzé -
Un remarquable fils de Neufchâteau
Le général Henrys – par Daniel HeckBien que les commémorations du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale soient à présent terminées
(encore que le traité de Versailles date de juin 1919 et l’extraordinaire défilé de la Victoire sur les Champs Elysées eut lieu le 14 juillet suivant), il n’a pas semblé trop tard à notre ami Daniel Heck pour évoquer la figure d’un de nos très grands chefs militaires et son exceptionnelle destinée, qui le conduisit, entre autres, à contribuer de manière décisive à la victoire de 1918. Cela n’est pas rien et méritait, à coup sûr, d’être rappelé, d’autant qu’il est né à Neufchâteau et fréquenta probablement son collège…
Cette évocation fait suite à l’article qu’il a consacré à sa ville natale : « Neufchâteau à l’heure américaine », publié en cette revue, n° 53, 2e trim. 2019. -
Inventaire historique et curieux
La châsse-reliquaire de Valhey – par Serge HussonDans le cadre des recherches effectuées pour écrire l’Histoire de Valhey1, un inventaire du mobilier liturgique de la sacristie a été réalisé. Un coffre-fort, qui n’avait pas été ouvert depuis des dizaines d’années, a nécessité l’intervention d’un serrurier ; il contenait des calices et patènes du début du XIXe siècle. Au fond d’un placard, une série de bougeoirs cachait une châsse-reliquaire. Au premier regard, celle-ci n’a pas semblé d’un grand intérêt ; son laiton doré et brillant et sa facture indiquaient une origine récente (fin du XIXe siècle) et évoquaient une production à de multiples exemplaires. Mais derrière les vitres de ses deux grands côtés brillaient, paradoxalement de façon plus discrète, l’or et les perles sertissant les reliques de trente saints. La qualité du travail, comme les matériaux employés étaient le signe d’une origine bien antérieure. Une châsse avait dû remplacer la châsse originelle. -
L’église et les deux châteaux
Dommartin-lès-Toul au XIXe siècle – par Jean-Paul AubéLorsque, venant de Nancy, on arrive à Dommartin-lès-Toul on passe déjà devant un ancien château, devenu hôtel de ville. En continuant vers Toul, on aperçoit sur la gauche, en haut de la côte surplombant la vallée, l’église ainsi qu’un grand parc arboré où se trouvait jadis le premier château. Examinons ces trois bâtiments au cours du XIXe siècle. -
Nouvelle
« Renaissance ! » – par Pierre PicouLe vieux noyer a été abattu, ses branches ont été soigneusement découpées et transformées en charbonnette. Maintenant, il reste le tronc qui attend tristement de savoir quel sera son destin. -
Années 1950-1960
Le gamin du Faubourg – par Jean-Marie Cuny -
Le monde à l’envers
Les réformes du ménage – par Jean-Marie Cuny