- La porterie du Palais ducal
- Le chant Messin
- Notre calendrier
Sommaire
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La revue vous avise – par Alain Beaugrand
Résurrection de la chapelle de Lignéville – Le monument austro-hongrois de Samogneux – Restauration de chapelles commémoratives – Les rendez-vous 2015 de Pèlerins de Lorraine – La chapelle de l’hôpital de Lamarche – Animations printanières à Châtillon-sur-Saône – Réapparition d’une relique de saint Nicolas – L’oratoire de Bruyères restauré – Le jardin Godron classé – La mort des arbres de bord de route -
Services d’eau
À propos des Marchal à Raville-sur-Sanon – par Jean-Claude MoninLe patronyme Marchal est bien connu actuellement dans le milieu agricole lunévillois. Au XIXe siècle, un certain nombre de menuisiers ont porté ce nom. -
D’une revue à l’autre
Entre nous – par Jean-Marie CunyDénaturer le Palais – Lorraine Francique – Les vins Lorrains – Loin de chez nous – Monuments de 1870 -
Un Lorrain explore l’Amazonie
Jules Crevaux (1876-1882) – par Corinne CharlotJules Crevaux fut un explorateur célèbre à son époque, mais, hélas ! tombé dans l’oubli aujourd’hui. Il ne reste à Nancy comme souvenir de celui qui fut un des plus grands explorateurs du XIXe siècle qu’un buste situé dans le jardin botanique Alexandre Godron à Nancy. -
En consultant les archives
Généalogie et Histoire – par Jean VeançonLe chanoine Bruneau, né à Pont-à-Mousson et directeur de l’école de Bosserville, a laissé un énorme travail en relevant et classant toutes sortes d’actes des villes de Pont-à-Mousson et Lunéville : actes de naissances, mariages et décès des registres paroissiaux, actes notariés, actes d’État civil. -
L’option
Un choix à faire ou un parti à prendre… – par Christian LapointeLa guerre de 1870…
Les Alsaciens et une partie des Lorrains subirent, et pour longtemps, les méfaits et conséquences d’une guerre à eux imposée suite à des événements qui ne les concernaient absolument pas… -
Frontière et douanes
Nos communes frontalières – par Jean-Marie Cuny / Alain Diaquin« Vous n’aurez pas l’Alsace et la Lorraine et malgré tout, nous resterons Français… » Ce chant très populaire a été fort répandu durant l’épreuve de l’amputation d’une partie du territoire au Reich allemand (1871-1918). La nouvelle frontière imposée était dans sa grande partie ramenée le long de la Seille. Ce cours d’eau séparait en deux le même territoire lorrain, avec d’un côté de la rivière, la partie annexée et de l’autre ce qui était resté français. Dans les Vosges, la nouvelle ligne de séparation courait sur les sommets vosgiens. -
Les livres – par Alain Beaugrand
La sélection d’Alain Beaugrand -
Monnaie sonnante…
Le trésor des poilus – par Jean-Claude L’HuillierLa Bibliothèque municipale de Nancy met en ligne « Le journal de la Meurthe » et « l’Est Républicain » pour la période 1914-1917. Ces journaux ont été numérisés et « océrisés », c’est-à-dire qu’à partir d’un fichier image on le transforme en fichier texte ce qui permet de faire une recherche dans le journal à partir d’un mot clé. Vous pouvez consulter le site Internet à l’adresse : « kiosque-Iorrain.fr ». Afin de tester l’intérêt de ce nouvel outil, j’ai pris le mot clé « Champenoux » et j’ai pris au hasard un journal et voilà ce que ma première recherche a donné. -
Une technique naturelle
Le blanchiment sur pré – par Marie-Louise JacoteyCeux qui en été se rendent à Gérardmer peuvent encore voir de grands draps blancs étendus sur les près qui rappelle la façon de blanchir les toiles autrefois. -
Naissance de la société de consommation
De la réclame de papa à la pub’ actuelle – par Julien LeveilléOn trouve dans le dernier numéro de la Nouvelle Revue Lorraine une réclame ancienne pour le cognac du cavalier (p. 49). C’est assez surprenant, n’est-ce-pas ? -
Un élevage original
La ferme hélicicole de Mussot – par Huguette MaxJ’ai découvert la ferme où Laurence Panot a créé un élevage d’escargots. Ces gastéropodes sont des Hélix aspersa maxima, autrement dit des gros gris. -
Étranger en son pays
Victor et ses pigeons – par Jean-Claude l’HuillierVictor est né en 1857, à Hémilly, dans cette terre de Lorraine qui sera annexée par la puissance allemande, vainqueur de la guerre de 1870. C’est un agriculteur courageux qui, à force d’un travail acharné, prend la location de la ferme de Voirincourt, écart de Laneuvelotte, en 1899. -
Coutume du temps de Pâques
Les crécelles – par Bernard MathieuL’église de Tonnoy est située sur une hauteur et son clocher, visible de loin, domine le village. Juste au-dessous se trouvait la maison de mes grands-parents. Aussi nous étions habitués à la sonnerie des cloches qui rythmaient la vie du village du matin au soir. -
Au fil des mois
Notre calendrier – par Jean-Marie CunyNous sommes pourtant quelques-uns à oublier de sortir nos drapeaux le 14 juillet. Par contre, nous n’omettons pas de pavoiser le 5 janvier pour la fête nationale des Lorrains. Il nous faut établir un calendrier lorrain car les dates de nos célébrations correspondent rarement aux dates données par le classique calendrier des Postes et Télécommunications. -
Si on chantait…
À la redécouverte du chant messin – par Alain BeaugrandIl ne s’agit pas de vous révéler quelques potins autour du dernier « tube » à la mode ! Non, nous présentons ici tout simplement l’ancêtre du chant grégorien qui a ses origines à Metz. Et nous donnons – au passage – un « coup de chapeau » à l’ensemble Scola Metensis qui travaille depuis de nombreuses années à la redécouverte et au partage de ce merveilleux chant liturgique apparu dès le IXe siècle. -
Cœur de la Lorraine
La porterie du Palais ducal de Nancy – par François RichardLe 5 janvier 1477, René II recouvre ses duchés après avoir défait Charles le Téméraire devant Nancy, il entreprend la construction d’un nouveau Palais en démolissant « La Court » qui était celui du duc Raoul (1329-1346) construit aux XIIIe et XIVe siècles. En 1502, le Duc nomme, pour la construction de son nouveau Palais, l’architecte Jacques ou Jacot de Vaucouleurs, qui restera sur le chantier jusqu’en 1522. À la mort de René II le 15 décembre 1508, succède son fils Antoine. Il termine la construction, en édifiant la porterie. De 1511 à 1512, il prend comme sculpteur Jacquemin de Lenoncourt, qui réalise une partie des décors sculptés et l’imagier Mansuy Gauvain, pour exécuter son effigie équestre, placée dans une niche en plein-cintre au-dessus de la porte cochère, ses armoiries, et quatre grandes gargouilles, qui faisaient tomber les eaux de pluies au milieu de la Grand Rue, pour le plus grand bonheur des passants.